Adresse logique du destinataire d'un paquet IP permettant le routage du paquet dans le réseau Internet par l'intermédiaire de noeud de transfert, appelés routeurs.
Adresse qui n'est pas physique, c'est à dire qui n'est pas attachée à une connexion déterminée par son emplacement géographique. Les adresses logiques Internet sont des adresses IP.
Adresse physique du coupleur éthernet.
Ensemble des moyens permettant d'accéder a une entité physique. L'adresse physique correspond à une jonction physique à laquelle est connecté un équipement terminal, comme un téléphone ou une carte coupleur.
Technique d'accès par modem haute vitesse dont la capacité est dissymétrique, c'est à dire plus lente entre le terminal et le réseau que dans l'autre sens.
Topologie dans laquelle le support relie toutes les stations de manière à former un circuit en boucle. L'information circule dans une seule direction, le long du support de transmission.
ARP est un protocole effectuant la traduction d'une adresse de protocole de couche réseau (typiquement une adresse IPv4) en une adresse MAC (typiquement une adresse ethernet), ou même de tout matériel de couche de liaison.
Technique de transport de cellules qui sont des trames de données de 53 octets. ATM utilise la commutation et fonctionne en mode connecté.
Code sous forme de créneaux indiquant des valeurs 0 ou 1.
Plage de fréquences pouvant ètre transmisses sur un support. S'exprime en Hertz.
Dans les réseaux RTC. Partie terminale du réseau déservant l'utilisateur. Ce sont les derniers kilomètres à parcourir sur le réseau, exemple : ligne téléphonique qui va du combiné jusqu'au commutateur téléphonique le plus proche.
Correspond à une application de diffusion dans laquelle tous les recepteurs doivent recevoir le message.
Nom donné à une trame ATM, de taille 53 octets.
Succession de références VPI et VCI, que toutes les trames d'un mème flot doivent prendre.
Appareil effectuant le codage numérique d'un signal analogique.
Opération d'un établissement de liaison de bout en bout d'un réseau maillé pour faire passer une information.
Commutation de trames propres aux réseau ATM.
Type de commutation dans lequel un circuit joignant 2 interlocuteurs est établi, il leur demande par la mise bout à bout des circuits partiels. Le circuit est désassemblé à la fin de la transmission.
Technique de transfert de paquets utilisée lorsque la méthode pour déterminer la route est une commutation.
Méthode de transfert consistant à commuter des trames dans le noeud, ce qui a pour effet de les transmettre directement sur la ligne, juste après les avoir aiguillées vers la bonne porte de sortie. Le relais de trames et la commutation ethernet en sont des exemples.
Equivalent d'un circuit virtuel dans les réseaux ATM dont les références utilisées sont les VPI. Les conduits virtuels multiplexent les voies virtuelles des réseaux ATM.
Troisième niveau du modèle de référence de l'achitecture UIT-T, dont le but est de transformer ce qui provient des couches supérieures en segments de 48 octets, encapsulables dans des cellules.
Technique d'accès employée dans les réseaux Ethernet, dite d'écoute de la porteuse et de détection des collisions, constitant à écouter le canal avant et pendant l'émission. Si le coupleur détecte un signal sur la ligne, il diffère son émission en une date ultérieure ou l'interrompt.
Application de configuration automatique permettant notamment à une station de se voir assigner une adresse IP.
Application permettant la mise en correspondance des adresses physiques dans le réseau et des adresses logiques
Nom donné aux liaisons bidirectionnelles simultanées, qui permettent une transmission simultanée dans les deux sens
Technique consistant à ne prélever sur un signal donné que des échantillons d'informations à des intervalles de temps réguliers et suffisament proches pour conserver une image fidèle du signal d'origine.
Topologie d'un réseau dans lequel chaque station est reliée à un noeud centrale
Délimitateur
Protocole de transfert de fichiers dans l'environnement IP.
Protocole de niveau trame né en 1976 du besoin de faire communiquer un terminal avec une machine distante, tout en évitant un trop grand nombre d'erreurs lors de la transmission.
Language de description de page par balisage hypertexte utilisé entre serveurs Web.
Protocole de gestion du transfert de fichier hypertexte entre serveur et client Web.
Protocole d'envoi de messages de contrôle destinés à permettre aux machines de rendre compte d'anomalies de fonctionnement.
Protocole permettant de travailler à distance sur le serveur de messagerie avant de récupérer les messages SMTP.
Réseau mondial utilisant la même technique de routage de paquets et le même protocole IP (Internet Protocol).
Service d'information enregistrant l'ensemble des noms de domaines Internet.
Réseau conçu pour traiter l'information à l'intérieur d'une entreprise ou d'une organisation et utilisant le protocole IP de façon privée.
IP est le protocole d'Internet
Opérateur proposant la connexion au réseau Internet.
Type de réseau adapté à la taille d'un site d'entreprise et dont les deux points les plus éloignés ne dépassent pas quelques kilomètres de distance. Parfois appelé réseau local d'entreprise.
Sous-ensemble de la norme HDLC conçu pour répondre aux besoins de transmission sur les liaisons entre noeuds de transfert des réseaux des opérateurs.
Protocole développé pour véhiculer des trames sur un canal partagé.
Protocole proposant une extension du LAP-D pour le relais de trames dans le but d'améliorer les performances des protocoles de niveau paquet.
Bande passante importante permettant de transporter des applications multimédia.
Différence entre la plus basse et la plus haute fréquence utilisée pour le transport des données.
Protocole permettant d'identifier les répertoires des serveurs de messagerie SMTP.
Liaison ne possédant que deux extrémités.
Nom donné au circuit virtuel dans le relais de trames, pour indiquer que l'ouverture et la fermeture de la liaison virtuelle se font au niveau trame et non au niveau paquet.
Sous couche de la couche liaison destinée à la gestion des erreurs.
Appareil qui transforme les signaux binaires produits par les ordinateurs ou les équipements terminaux en des signaux de forme sinusoïdale, qui leur offre une propagation de meilleure qualité.
Technique de modulation utilisée par un modem ADSL.
Mode de diffusion correspond à une application mutlipoint. Une adresse multicast indique une adresse de groupe et non pas d'une seule entité.
Subdivision d'un même canal de transmission physique en deux ou plusieurs sous-canaux logiques.
Mutliplexage dans lequel le temps est découpé en tranches, ces dernières étant affectées régulièrement à chaque voie basse vitesse.
Paquet transportant des informations de supervision pour contrôler le réseau.
Passerelle que les entreprises placent en entrée de réseau pour sécuriser les communications venant de l'extérieur.
Protocole permettant de récupérer les messages stockés sur le serveur qui héberge la messagerie SMTP.
Protocole inspiré du HDLC utilisé dans les liaisons d'accès au réseau Internet ou entre deux routeurs. Son but est d'indiquer le type d'information transportée dans le champ de données de la trame.
Zone située en tête de la trame Ethernet permettant au récepteur de se synchroniser sur le signal et d'en reconnaitre le début.
Réseau dans lequel seule la station qui possède le jeton peut le transmettre.
Réseau local très repandu autorisant des débits élevés à moindre coût sur câble coaxial, paire torsadée, fibre optique ou par voie hertzienne.
Réseau à jeton utilisant un support de capacité 100 Mbits/s sur lequel un jeton synchronisé se déplace.
Réseau proposant de très hauts débits à ses clients.
Correspond à l'environnement téléphonique que nous connaissons, constitué de ligne de communications travaillant en mode circuit.
Réseau local utilisant une technique d'accès de type jeton non adressé sur une boucle.
Réseau développé au début des années 80 pour permettre le transport d'applications intégrant au moins la voix et les données en utilisant une interface unique avec tousles réseaux disponibles chez les opérateurs de télécommunications.
Détermination d'un chemin emprunté dans un réseau maillé par un message ou un paquet de données. Dans un réseau de routage, les paquets ne suivent pas forcément la même route et, de ce fait, n'arrivent pas automatiquement dans l'ordre.
Nom donné aux liaisons bidirectionnelles qui transforment l'émetteur en récepteur et vice versa, la communication changeant à tour de rôle.
Serveur capable d'effectuer la correspondance entre l'adresse IP et l'adresse physique d'un équipement terminal.
Serveur pouvant répondre à des requêtes de résolution de nom, c'est à dire capable d'effectuer la traduction d'un nom en une adresse. Les serveurs de noms d'Internet sont les serveurs DNS.
Serveur de noms.
Nom donné aux liaisons unidirectionnelles, c'est à dire qui ont toujours lieu dans le même sens, de l'emetteur vers le récepteur.
Protocole de messagerie electronique utilisé sur Internet.
Désigne le support de transmission de l'information : câble métallique, fibre optique ou onde hertzienne.
Protocole de transport en mode avec connexion élaboré en complément du protocole IP pour définir l'interface avec l'utilisateur. Correspond au niveau 4 du modèle de référence et détermine la façon de transformer un flux d'octets en paquet IP tout en assurant la qualité de tranmission.
Architecture en couches assemblant les protocoles Internet IP et TCP, correspond respectivement au niveau paquet et au niveau message du modèle de référence.
Telnet est une application permettant à un équipement terminal de se connecter à un serveur distant. C'est ce que l'on nomme une émulation de terminal (le logiciel Telnet rend le terminal compatible avec le serveur).
Trame utilisée dans les réseaux Ethernet, dont la taille est comprise entre 64 et 1516 octets.
Trame Information du protocole HDLC portant les données en provenance de la couche supérieure.
Trame de Supervision du protocole HDLC permettant le transport des commandes. Il en existe trois : la trame RR (Receive Ready), la trame RNR (Receive Not Ready) et la trame REJ (Reject).
Convertisseur de signaux électriques en signaux lumineux dans le cadre de l'utilisation optique.
Protocole utilisé au-dessus du protocole IP et fonctionnant dans un mode sans connexion. UDP prend en charge toutes les applications n'ayant pas besoin de contrôle et demandant un temps de réaction faible, comme la parole téléphonique.
Combinaison d'un nom de domaine, d'un protocole et d'un nom de fichier, qui identifie de façon unique un document situé sur un serveur.
Voie virtuelle.
Référence utilisée pour commuter les cellules ATM sur un circuit virtuel.
Voie de conduit virtuel;
Référence utilisée pour commuter les cellules ATM sur un conduit virtuel.
Protocol définissant l'interface locale entre un équipement informatique connecté au réseau et le réseau lui-même pour la transmission de paquets.
Modem à grande vitesse adapté aux paires de fils métalliques. La lettre initiale prenant la place du x différencie différent type, comme ADSL ou VDSL.